Comment couvrir un conflit armé en journalisme ?

Comment couvrir un conflit armé en journalisme ?

Comme chaque année, les journalistes de l'ISCPA Paris ont couvert du 24 avril au 4 mai les conflits - simulés - de l'exercice coalition dans les locaux de l'école Militaire.

Une occasion rêvée pour tous nos étudiants désireux de poursuivre leur carrière dans le journalisme de guerre. L’ISCPA offre l’opportunité aux 2ème année de bachelor et aux mastère 1 et 2 de s’immerger au sein d’un conflit armé.

Missions des étudiants

Cet exercice de simulation, joué à l’école militaire (Paris 7e), permet aux journalistes de couvrir les événements et de les retranscrire sur les différents médias. Répartis selon leur spécialité, les étudiants en presse écrite publient un journal quotidiennement tandis que l’équipe TV produit un JT chaque jour. De leur côté, les étudiants spécialisés en radio réalisent 5 flashs info par jour.

Acteurs présents

Toutes les structures sont représentées :

La politique et l’international avec les diplomates de l’Institut Diplomatique et Consulaire (IDC) et du Centre d’études diplomatiques et stratégiques (CEDS), les représentants d’ONG joués par les élèves de l’Université américaine de Paris (UAP) et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Côté opérationnel et tactique avec l’influence de la société civile et des médias. les autorités militaires représentées par le Centre des Hautes Études Militaires (CHEM) et le Commandement Pour les Opérations InterArmées (CPOIA).

Environnement militaire

Une situation militaire est planifiée par l’école de guerre et la conduite d’opérations dans le cas d’une crise internationale plonge les étudiants de l’ISCPA Paris dans le scénario suivant : gestion d’une crise née de tensions ethniques sur des territoires économiquement riches, avec la légitimité des traités internationaux pour un camp et celle du droit des peuples À disposer d’eux-mêmes pour l’autre. Incidents et troubles à l’ordre public iront jusqu’à  déclencher l’affrontement des deux coalitions.

S’en suivent deux semaines d’expériences fortes et de travail intensif !

 

Pour en savoir plus

Le CAX vu par nos étudiants