TéMOIGNAGE STAGE
#MonStageISCPA Sharon, Journaliste pour 100% radio

Elle n’avait pas anticipé son coup de cœur pour la radio. Et pourtant, c’est bien derrière un micro, casque sur les oreilles, que Sharon a eu le déclic. Pour son stage de 2ème année Bachelor Journalisme à l’ISCPA Toulouse, animée par l’envie de se confronter au terrain, elle a donc décroché un stage chez 100% Radio. Résultat : une expérience immersive, rythmée et marquante.
Découvrez son interview #MonStageISCPA !
La révélation de la radio
Pour être honnête, au départ je n’étais pas certaine que le journalisme radio serait ma voie. Mais en deuxième année, l’envie de découvrir concrètement ce milieu sur le terrain s’est imposée. C’est pourquoi j’ai sauté sur l’opportunité de faire un stage à 100% Radio. Ce stage a été une révélation pour moi ! J’ai tout de suite été plongée dans le rythme effréné d’une rédaction radio avec les rendez-vous d’antenne, la recherche d’informations, la rédaction de scripts, etc. Une expérience très enrichissante qui m’a permis d’acquérir de précieuses compétences pratiques.

Sa journée type chez 100% radio
La matinée était consacrée à la préparation et la réalisation des différents sujets : interviews, prises de son, recherches… Un vrai travail de terrain très enrichissant pour se former.
De retour à la rédaction l’après-midi, place au montage ! Je devais alors assembler et monter les différents sons, témoignages et éléments récoltés le matin. L’objectif était de préparer des reportages prêts à être diffusés, soit dès le lendemain matin, soit dans le cours de la semaine selon l’actualité.
C’était une course contre la montre, entre séquences à recouper, niveaux à régler, voix à ajouter… Mais quelle satisfaction en fin de journée d’avoir un produit fini, fruit de notre travail de terrain !
Un sujet de reportage pas comme les autres
Oui je pense à la mobilisation des militants écologistes contre le projet d’autoroute traversant une zone boisée classée. Cette confrontation entre “les écureuils” et les forces de l’ordre restera gravée dans ma mémoire. Lorsque j’ai rejoint l’équipe de journalistes sur les lieux de la “ZAD”, l’ambiance était déjà très tendue. (…). Sur le vif, mon rôle était de tout capter : les mouvements des manifestants, les réactions des riverains, la parole des différentes parties. Un véritable défi pour retranscrire au plus juste la tension palpable sur le terrain.
Ce direct restera gravé comme une véritable immersion dans la réalité brute d’un événement. Bien loin du confort des studios, j’ai pu vivre et ressentir avec force les enjeux et les passions que peut soulever un sujet d’actualité sensible comme celui-ci.